Une semaine après le lancement de la campagne électorale, des actes d’intolérance ont déjà été enregistrés dans certaines villes. A Lubumbashi certains candidats à la députation se plaignent du fait que des inciviques déchirent leurs affiches. À Kisangani, le siège de du candidat du FCC a été vandalisé mardi par un groupe des jeunes causant des blessés graves et autres dégâts matériels importants. Et à Mbuji -Mayi, L’UDPS et la jeunesse qui soutient le gouverneur de province se sont affrontés mardi. Ils s’accusent mutuellement d’actes de vandalisme.
Quelle analyse faire de cette situation ?
Que faut-il pour une campagne électorale apaisée ?
Invités
-Me Guillaume Manjolo, Secrétaire Général du parti politique Union des Libéraux Démocrates Chrétiens. Rapporteur adjoint de la plateforme ABCE. Il est aussi porte-parole du candidat du Front commun pour le Congo.
-Me Sonvil Mukendi, porte-parole des plateformes Ensemble et Lamuka- Grand Katanga.
-Emmanuel Kabongo, Professeur de journalisme à l’Université pédagogique nationale (UPN). Il est aussi journaliste de profession et Docteur en philosophie politique africaine.
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