Mbandaka a vécu le test national de fin d’études primaires

Huit centres ont abrité ce jeudi cette épreuve, édition 2005, organisée à travers tout le territoire national. Grincement de dents chez les parents, en majorité des fonctionnaires. Ils éprouvent des difficultés à s’acquitter des frais de participation de leurs enfants. Le directeur de province, contacté par radiookapi.net, recommande de la patience aux autorités scolaires.

Louis Adoula Mahungu reconnaît que les parents sont astreints au paiement des ces frais. Mais il recommande aux responsables scolaires tant du secteur privé que conventionné, de mettre en place un mécanisme souple qui permette à tous les élèves de participer à l’épreuve.

«Des régularisations pécuniaires pourront suivre après. A tous les niveaux, les parents sont en difficulté de payer ces frais. On ne veut pas voir les élèves déambuler dans les rues parce qu’ils n’ont pas pu payer les frais de participation.Ce sont des choses que nous allons négocier avec les responsables de l’Enseignement et tout ira pour le mieux», assure M. Mahungu.

La présente édition du test national a ceci de particulier : chaque participant doit répondre à 25 questions à choix multiple.