C’est ce qu’affirme Mme Mavinga, chargée de la formation au Programme national de la santé de la reproduction. Selon la même source, ces adolescentes recourent souvent à l’avortement dans des conditions médicales parfois dramatiques. rnPar ailleurs, en Afrique, près de 300 00 femmes meurent chaque année suite à un avortement clandestin non médicalisé, d’après l’Organisation mondiale de la santé, OMS, rapporte radiookapi.net