
Des écoles sont restées fermées, quelques magasins et boutiques ont tenté d’ouvrir leurs portes, malgré la forte présence militaire et policière.
Le mouvement des populations fuyant les communes où opéraient les forces de l’ordre a diminué et le transport a repris peu à peu, indiquent les sources locales. Les mêmes sources renseignent que des familles entières en majorité venant de la commune de Nganza se sont réfugiées dans des églises et des familles d’accueil.
Ceux qui ont perdu contact avec leurs proches se mobilisent pour les retrouver. Par ailleurs, les habitants du quartier hôpital ont indiqué à Radio Okapi, qu’ils ont été envahis ce jeudi par un nombre important des militaires. Ce qui a poussé d’autres familles à trouver refuge dans d’autres quartiers.