Plus qu’une centaine des commerçants de Lubumbashi s’approvisionnent encore à Dubaï. Pourtant en 2008, ils étaient au nombre de mille cinq cent, à en croire certains opérateurs économiques.
Et pour cause: les déboires financiers de beaucoup de commerçants qui dénoncent taxes jugées exorbitantes. Ces taxes sont perçues à l’embarquement des marchandises à Dubaï et au guichet unique, installé à la frontière de Kasumbalesa.
Le point de la situation dans cet entretient que Jeany Lungembo a eu avec Edouard Sumaili, président du comité des commerçants basés à l’étranger.
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