Au moins 350 personnes enlevées ces dernières semaines par les rebelles ougandais. Parmi elles, des soudanaises, centrafricaines et congolaises, indique Amnesty International. L’ONG appelle les gouvernements d’Afrique centrale et les Nations unies à s’unir pour leur libération. ” Il faut aussi traduire en justice les personnes qui ont commis ce crime “, estime Godfree Biarhanga, chercheur d’Amnesty International pour l’Afrique Centrale, rapporte radiookapi.net
Contacté, le vice-ministre congolais de l’Intérieur, Joseph-Dovel Mpango, a fait savoir que le gouvernement a mis à contribution ses services de sécurité. Et qu’il attendait le résultat de l’enquête pour agir.