Plusieurs services de l’Etat opérant dans ce port ont été conviés à une réunion par le gouvernorat. Cette rencontre s’est tenue le vendredi 02 septembre 2005. Il ressort de cette rencontre, rapporte radiookapi.net, que beaucoup de choses restent encore à faire pour le port de Matadi si on veut éviter sa fermeture par les instances internationales.
La séance de travail a été présidée par le vice gouverneur chargé des questions financières et économiques, Déo Nkusu.
rnLes représentants des services publics opérant dans ce port, notamment, de l’Ofida, l’Occ, l’Onatra, ainsi que ceux chargés du maintien de l’ordre et la sécurité ont pris part à cette rencontre d’évaluation.
rnIls se sont félicités de quelques réalisations déjà faites dans l’exécution des travaux d’assainissement de ce port. Au nombre de ces réalisations, l’érection du mur autour du port ainsi qu’une nette démarcation entre les quais, les magasins et le bâtiment administratif.
Toutefois, pour le vice gouverneur Déo Nkusu, le gouvernement et tous ses partenaires dans la gestion du port de Matadi ont l’obligation d’accélérer le reste des travaux afin de répondre aux exigences internationales de la sécurité maritime. Il s’agit notamment de la construction d’une citerne incendie. Celle-ci est conditionnée par la destruction préalable des toutes les maisons du quartier Nkala Nkala sur les collines voisines du port.