L’Union sacrée pour la nation organise ce mardi 23 avril l'élection primaire pour départager trois candidats au poste de président du bureau définitif de l’Assemblée nationale.
Les députés membres de la Majorité parlementaire vont donc choisir entre Modeste Bahati Lukwebo, Vital Kamerhe et Christophe Mboso, celui qui sera le prochain candidat président de l’Assemblée nationale.
Convoqué par le présidium de l’Union sacrée, ce scrutin vise à trancher entre ces trois candidats sans susciter trop des frustrations, estime un membre du présidium.
C’est depuis deux mois que les leaders de l’Union sacrée se battent à l’interne pour briguer le perchoir de l’Assemblée nationale.
Un seul poste pour plusieurs candidats, personne ne voulant faire allégeance à l’autre.
Ce qui bloque depuis un mois l’installation du bureau définitif de la chambre basse du Parlement.
Question :
-Quelle analyse faites-vous de cette initiative de l’Union sacrée ?
Invités :
-Alphonse Maindo, professeur en sciences politiques de l’Université de Sorbonne Paris 1 et enseignant à l’Université de Kisangani (UNIKIS).
-Frederick Amani, chercheur associé en sciences politiques et relations internationales à l’Université de Lubumbashi. Il est expert en question de sécurité, défense et de maintien de la paix, de l'Institut Thales d'Afrique, basé à Dakar au Sénégal.
-Ithiel Batumike, chercheur à Ebuteli, institut congolais sur la politique, la gouvernance et la violence.
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