Des miniers exibant le premier lingot d'or de la société Kibali Gold, une Joint-venture entre la SOKIMO et la Sud Africaine Anglo Gold Ashanti, mardi 24 septembre 2013 à DOKO dans le territoire de Watsa (Province Orientale). Ph. Kibali Gold Project
«Un panel d’experts qui essaiera de voir aussi comment ça se passe ailleurs, en Afrique et proposera une étude comparative référencée, qui peut nous donner une idée sur le régime fiscal des autres juridictions minières», a expliqué à Radio Okapi Cyrile Mutombo, le directeur général de Kibali au cours d’un point de presse organisé lundi 16 octobre à Kinshasa.
D’après M.Mutombo, la révision du code minier de la RDC doit tenir compte des intérêts de chaque partie prenante et, dans ce contexte, a-t-il souligné, il y a nécessité de prendre en compte ce qui est déjà fait ailleurs en matière du régime fiscal dans le secteur minier.
C’est depuis juin que les députés nationaux examinent le projet de loi portant modification du code minier. La question de la révision de ce code est l’objet d’un débat dans l’opinion depuis de nombreuses années.
Parmi les innovations contenues dans la nouvelle loi, l’exclusivité accordée aux sociétés détenues en majorité par des Congolais pour «les activités de sous-traitance dans le secteur de mines et de carrière».
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