Dialogue politique: comment aplanir les divergences?

Le président François Hollande recevant le leader de l'UDPS, Etienne Tshisekedi (avec casquette) dans la résidence de l'ambassadeur français à Kinshasa à l'occasion du XIVe sommet de la Francophonie (Kinshasa, le 13 octobre 2012). Ph. 20minutes.fr

Le chef de l’Etat Joseph Kabila a annoncé le week-end dernier la convocation d’un dialogue politique national inclusif. Dans son message à la nation, le chef de l’Etat a fixé l’opinion sur le contenu de ces assises.

Il a notamment évoqué la possibilité, dès à présent, d’engager une réflexion sur un système électoral avec les modalités de vote peu coûteuses comme c’est le cas dans certains pays.

L’UDPS et d’autres partis de l’opposition, disent ne pas comprendre pourquoi la question de l’alternance n’ait pas été évoquée dans le discours du chef de l'Etat.

D'autres partis de l'opposition rejettent ce dialogue.

 

Que faut-il faire pour aplanir ces divergences?

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Thème du jeudi 02 décembre 2015

La délégation syndicale de la Société commerciale des transports et ports (SCTP) s’oppose à  l’idée du gouvernement  de privatiser les ports de Boma, de Matadi ainsi que le chemin de fer Kinshasa-Matadi.

Le gouvernement congolais, lui, affirme et confirme plutôt son projet de mise en concession d’une partie des activités opérationnelles de la  Société Congolaise des transports  et des ports (SCTP).

Pour le gouvernement cette mise en concession n’est pas un démembrement, ni encore moins une privatisation des actifs de la société, il s’agit notamment du résultat des études menées par le consultant international recuite  par le Copirep.

 

Selon  vous,  est-il  important ou non de mettre en concession ces ports   ?

 

 

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