Le mini-sommet sur la RDC s’est achevé jeudi dernier à New-York sans une déclaration commune des participants. Ces derniers ont tout de même réitéré leur engagement à aider la RDC à restaurer la paix et la stabilité dans sa partie Est.
Cette réunion de haut niveau organisée en marge de la 67è session annuelle de l’Assemblée générale de l’Onu se penchait sur la crise sécuritaire dans l’est de la RDC provoquée par la rébellion du Mouvement du 23 mars. La RDC accuse le Rwanda de soutenir les rebelles du M23. Au cours de cette réunion à huis clos, le président de la RDC, Joseph Kabila a dénoncé « les ingérences extérieures » dans la crise au Nord-Kivu sans citer explicitement le M23. Le président rwandais, Paul Kagame a refusé que son pays soit pour le « bouc émissaire » de la situation en RDC
- Quelle analyse faites de ce sommet ?
Invité: Pr Dominique wertz, conseiller scientifique au centre d’appui en science politique de l’Afrique centrale à l’Université de Liège.
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Parole aux auditeurs s’intéressera à la tenue du sommet de la francophonie en RDC.
A dix jours de l’ouverture de ces assises, les vox s’élèvent pour s’assurer des enjeux de cette grand-messe internationale qui se déroulera du 12 au 14 octobre prochain dans la ville province de Kinshasa.
-Quelle analyse faites-vous de la tenue de ce 14 eme sommet de la francophonie en RDC ?
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