Deux ONG de défense de la liberté de la presse s’étaient donné rendez-vous au Grand Hôtel
Kinshasa hier lundi. Journaliste en danger (JED) lançait une campagne de sensibilisation et
African Media Institute (AMI) pour publier son rapport annuel sur la liberté de la presse en
RDC.
Selon ce rapport, 54 cas de violations de la liberté de la presse ont été
enregistrés. L’ONG considère que les journalistes congolais ont encore de nombreuses
difficultés à surmonter pour obtenir l’information.
Selon Chrysostome Tshibambe
Articles de la catégorie « Actualité »
03/05/2005 - 12:08
Deux ONG de défense de la liberté de la presse s’étaient donné rendez-vous au Grand Hôtel Kinshasa hier lundi. Journaliste en danger (JED) lançait une campagne de sensibilisation et African Media Institute (AMI) pour publier son rapport annuel sur la liberté de la presse en RDC.
Selon ce rapport, 54 cas de violations de la liberté de la presse ont été enregistrés. L’ONG considère que les journalistes congolais ont encore de nombreuses difficultés à surmonter pour obtenir l’information.
02/05/2005 - 17:34
Les
réactions sont enregistrées au parlement après le passage des représentants de l’Union
européenne à Kinshasa. Ces derniers ont proposé aux dirigeants congolais le respect de
l’équilibre des pouvoirs entre les institutions.
Le sénateur RCD Léonard Ridja Djoka
partage la position de l’Union européenne exprimée par Javier Solana, haut représentant
pour la politique extérieure et de la sécurité commune de l’Union européenne.
Le
02/05/2005 - 17:34
Les réactions sont enregistrées au parlement après le passage des représentants de l’Union européenne à Kinshasa. Ces derniers ont proposé aux dirigeants congolais le respect de l’équilibre des pouvoirs entre les institutions.
Le sénateur RCD Léonard Ridja Djoka partage la position de l’Union européenne exprimée par Javier Solana, haut représentant pour la politique extérieure et de la sécurité commune de l’Union européenne.
02/05/2005 - 17:26
Dans la
zone de santé de Kamana, plus de 50 personnes seraient déjà contaminées. Mais aucun décès
n’est signalé pour l’instant.
Des sources de l’Inspection provinciale de la santé
font état de 56 personnes contaminées. Parmi elles, 14 enfants de moins de cinq ans et 2
d’autres tranches d’âge. Toutes ces victimes sont originaires de Kamana, dans le district de
Kabinda. Il s’agit de zones de santé de Musange et de Tshungu.
Pas de morts pour le
02/05/2005 - 17:26
Dans la zone de santé de Kamana, plus de 50 personnes seraient déjà contaminées. Mais aucun décès n’est signalé pour l’instant.
Des sources de l’Inspection provinciale de la santé font état de 56 personnes contaminées. Parmi elles, 14 enfants de moins de cinq ans et 2 d’autres tranches d’âge. Toutes ces victimes sont originaires de Kamana, dans le district de Kabinda. Il s’agit de zones de santé de Musange et de Tshungu.
02/05/2005 - 17:10
Un mois après
l’expiration de l’ultimatum sur le désarmement volontaire, les miliciens démobilisés
attendent toujours des moyens pour leur insertion sociale. Le programme réinsertion
communautaire tarde et ils ne cachent plus leur impatience.
«Je suis
démobilisé. Il faut qu’on nous donne du travail. Si on nous abandonne, alors, on risque
d’avoir de mauvaises idées », se plaint un ex-combattant de 20 ans. Comme d’autres
démobilisés, il s’impatiente. Le programme de réinsertion communautaire qui doit leur donner
02/05/2005 - 17:10
Un mois après l’expiration de l’ultimatum sur le désarmement volontaire, les miliciens démobilisés attendent toujours des moyens pour leur insertion sociale. Le programme réinsertion communautaire tarde et ils ne cachent plus leur impatience.
«Je suis démobilisé. Il faut qu’on nous donne du travail. Si on nous abandonne, alors, on risque d’avoir de mauvaises idées », se plaint un ex-combattant de 20 ans. Comme d’autres démobilisés, il s’impatiente. Le programme de réinsertion communautaire qui doit leur donner du travail n’a pas encore commencé.
02/05/2005 - 17:03
Ce lieu
carcéral, prévu pour 150 personnes, compte cinq fois plus de détenus. Cette situation
préoccupe les responsables des ONG de droits de l’homme locales réunis en atelier de
réflexion. Ils recommandent une intervention rapide du pouvoir central.
La prison
centrale de Mbuji Mayi compte plus de 500 détenus. Les deux tiers proviennent des parquets
militaires.
Selon le docteur Mantshesa Buila, médecin traitant de cette prison, le
02/05/2005 - 17:03
Ce lieu carcéral, prévu pour 150 personnes, compte cinq fois plus de détenus. Cette situation préoccupe les responsables des ONG de droits de l’homme locales réunis en atelier de réflexion. Ils recommandent une intervention rapide du pouvoir central.
La prison centrale de Mbuji Mayi compte plus de 500 détenus. Les deux tiers proviennent des parquets militaires.