Kasaï-Oriental: le projet Presar satisfait de son bilan sur l’axe agropastoral

Un champ des haricotsUn champ des haricots

Un champ des haricots

Le bilan à mi-parcours du Projet de réhabilitation du secteur agricole et rural (Presar) est globalement satisfaisant du côté de l’agro-pastorale, au Kasaï-Oriental. Le coordonnateur national de ce projet, Elie Tumbu Tumbu, l’a dit mardi 20 mars au terne d’une mission d’évaluation de quatre jours qui l’a conduit à Mbuji-Mayi, à Miabi et Tshilenge.

«Nous sommes déjà vers la fin du projet. Pour ce qui est de l’agriculture, vous pouvez vous rassurer que la maitrise de toutes les technique est assez bonne. Pour la promotion de l’attraction animale, nous avons vu des paires de bœufs qui sont entrain d’être dressés», s’est-il réjoui au terne d’une mission de quatre jours au Kasaï-Oriental.

Elie Tumbu Tumbu a toutefois reconnu qu’il reste encore beaucoup à faire en rapport avec les axes routiers où l’entretien des infrastructures pose problème.

«Pour le Kasaï-Oriental, l’ensemble d’infrastructures sont déjà terminées sauf pour les pistes où il nous reste à faire quelque chose sur la route de Miabi jusqu’à Malenga et Liputa vers Katshisongo», a expliqué le coordonnateur national de Presar.

Il a annoncé le lancement des autres travaux de réhabilitation et l’installation, avec l’appui du Service national hydraulique rural  des puits de forage dans différents marchés construits à travers le Kasaï-Oriental.

Elie Tumbu Tumbu s’est plaint également que les infrastructures construites ne sont pas entretenues alors qu’il avait installé un des comités de gestion des infrastructures.

«Nous essayons d’accompagner ces comités pour qu’ils fonctionnent réellement», a-t-il conclu.

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