La ville de Kisangani est plongée dans le noir depuis le dimanche 9 février matin, à la suite du travail de réparation du groupe Numéro 2 de la centrale hydroélectrique de la Tshopo.
Ce groupe est l’unique qui fonctionnait encore sur les trois que compte cette centrale, les deux autres étant en panne.
Selon le chef de division de production et transport, Jean-Claude Liandja, seuls les sites stratégiques seront alimentés en énergie électrique générée par des groupes électrogènes.
D’après lui, les travaux de réhabilitation vont durer cinq jours, soit du dimanche 9 février au jeudi 13 février courant.
Néanmoins, précise-t-il, toutes les dispositions sont prises pour réduire ce délai au strict minimum.
Vous pouvez l’écouter dans cet extrait :
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La Société nationale d’électricité (SNEL) avait annoncé le samedi 8 février, l’arrêt du groupe numéro 2 de la centrale hydroélectrique de la Tshopo pour une intervention technique majeure.
« L’unique groupe encore en fonctionnement tourne avec un problème qui nécessite impérativement son arrêt pour une intervention. Cette opération vise à prévenir une panne plus grave qui pourrait entraîner des conséquences encore plus importantes pour la ville de Kisangani », a expliqué Jean-Claude Liandja.