La ministre du Genre, famille et enfants, Léonnie Kandolo a encouragé, mercredi 31 juillet, les femmes congolaise à s’engager pour la bonne marche du pays. Elle a organisé, pour ce faire, plusieurs activités en l’honneur de la femme africaine sous le thème « Eduquer et qualifier la femme africaine du XXIe siècle ».
Les femmes de toutes les couches, quelques membres du Gouvernement et les représentants des Nations Unies ont ainsi pris part à l’une de ces activités : un dîner organisé à l’hôtel Rotana à Kinshasa.
La ministre du Genre a encouragé l’engagement de la femme congolaise dans la marche du pays.
« La RDC a été le premier pays d’Afrique à inscrire la parité dans sa constitution. Ne pensons pas que les femmes africaines sont des femmes faibles. Les femmes africaines sont au cœur de nos communautés, jouant des rôles cruciaux dans les domaines de l’éducation, de l’agriculture, de la santé de l’économie et de la culture. Elles sont au cœur des avancées démocratiques, du dynamisme économique de nos pays. Leur force, leur résilience et leur créativité sont des sources d’inspiration », a rappelé Léonnie Kandolo.
Alda Chanty Tuluka, conseillère en matière de coopération et partenariat du ministère du Genre, interpelle la femme désœuvrée qui, d’après elle, doit se mettre au travail pour sa survie.
Adama Moussa, représentant de l’ONU-femme, a insisté sur l’investissement dans l’éducation de la femme africaine :
« L’éducation des filles constitue un levier important pour lutter contre la pauvreté, améliorer la santé maternelle et infantile et promouvoir l’égalité de sexe ».
Au cours de cette cérémonie, quelques femmes ont été primées pour leur bravoure: Catherine Nzuzi-wa-Mbombo, première femme gouverneure, la première femme contrôleur du trafic Aérien Lucienne Kamwanya, première femme écrivaine Elisabeth Muya, première femme enseignante Beatrice Kitembo, première Femme ingénieure civile, Agnès Loleta et la première femme Première ministre Judith Suminwa Tuluka.
