Revue de presse kinoise du vendredi 19 juillet 2024.
Comme à l’accoutumée à la fin de chaque semaine, Baya Ciamala, le sport roi, le football s’invite aux colonnes de plusieurs journaux. La presse kinoise de ce vendredi 19 juillet ne fait pas exception.
Sur ce chapitre, la Prospérité titre en sa Une : « Classement FIFA: les Léopards gagnent une place dans le monde, et se maintiennent en Afrique ! ». Ce quotidien rapporte qu’Après l'Euro et la Copa América 2024, il était important pour la Fédération internationale de football association (Fifa), d'actualiser son classement par rapport aux performances des uns et des autres. Ainsi, note ce portail, les Léopards de la République Démocratique du Congo ont gagné une place dans le monde, passant de la 61ème à 60ème, tandis qu'au niveau africain, ils ont gardé leur 11ème place conquise au classement de juin dernier, après avoir réussi à tenir en échec, les Lions de la Teranga du Sénégal à domicile (1-1) dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026. Dans l'ensemble, signale ce tabloïd, ce classement n'a pas été clément pour les géants du continent africain.
Sur la même lancée, fait savoir le Potentiel, la République démocratique du Congo va de progrès en progrès dans les différents classements des sélections par la Fédération internationale de football association (FIFA). Ce quotidien révèle que la RDC n’est plus qu’à une marche pour réintégrer le Top 10 africain. Selon ce portail, c’est une belle progression pour les hommes de Sébastien Désarbre qui ne baissent plus les bras depuis leur brillante participation à la dernière Coupe d’Afrique des nations. Le Potentiel indique que les Léopards ont intérêt à bien négocier les éliminatoires de la Coupe du monde 2026 et les éliminatoires de la Coupe d’Afrique 2025, pour espérer réintégrer le Top 10 africain longtemps absents.
Pour Infos 27, ce classement daté du jeudi dernier, a plus tenu compte de l’Euro et de la Copa America 2024 qui viennent de prendre fin, alors que les activités sportives étaient en berne en Afrique. Ce quotidien indique que les progressions africaines de ce trimestre, sont à mettre dans l’escarcelle de la Guinée Equatoriale qui gagne deux places, de l’Angola et de la République démocratique du Congo qui grimpent tous les deux d’une place au classement mondial.
Sur le tableau continental, écrit la Tempête des tropiques, le statu quo est observé. Ce quotidien signale que le classement africain est toujours dominé par le trio de tête composé du Maroc (1669.44 points), du Sénégal (1623.34 points) et de l’Égypte (1502.34 points). Pourtant sur le plan mondial, ajoute ce portail, aucune des trois premières nations africaines citées ci-haut n’a progressé. Le royaume chérifien (14e au monde) et le pays des Lions de la Teranga (19e) ont perdu des places, le pays des Pharaons (36e), quant à lui, stagne à la 36è.
EcoNews explique que le classement FIFA est une mesure cruciale de la performance des équipes nationales à travers le monde, et il est souvent scruté de près par les fans, les médias et les observateurs du football international. Cet hebdomadaire note également que ce classement offre une perspective globale sur les forces et les faiblesses des équipes, influencées par les résultats obtenus lors des matchs amicaux et des compétitions officielles. Ce portail souligne que les nations africaines ont encore une nouvelle opportunité de se redéfinir et de viser des améliorations dans leur classement mondial à venir.
Sur une autre page, rapporte le Phare, le Gouvernement exprime sa détermination de stabiliser la monnaie nationale et de palier l’inflation afin de renforcer et protéger le pouvoir d’achat des citoyens. Ce quotidien rappelle que les membres du Comité de Conjoncture ont, au cours de cette séance de travail, examiné cette question de la rationalisation et de la régulation des dépenses publiques.
Pour sa part, le Quotidien précise que dans cet élan d’assainissement budgétaire, le Comité de Conjoncture a recommandé d’intensifier les efforts en cours à travers une discipline budgétaire plus accrue pour le Trésor et davantage d’interventions ciblées sur le marché de change pour la Banque Centrale du Congo.