L’actrice américaine, Judd Ashley s’engage à la protection des bonobos. Dans un point de presse organisé mercredi 12 janvier à Kinshasa, elle pense qu’en utilisant ces animaux comme notre modèle, et symbole, il est possible de « rêver d’une société égalitaire, d’une société libérée des violences sexuelles qui est notre réalité pour l’instant. »
« C’est ce que le Congo peut donner au monde si nous sauvons les bonobos », a indiqué l’ambassadrice de bonne volonté pour l’UNFPA.
Elle entend conscientiser les communautés congolaises pour préserver cette espèce uniquement présente en République démocratique du Congo.
Judd Ashley a annoncé la descente en fin de cette semaine à Kolokopori dans la province de Tshuapa d'une mission des scientifiques américains pour des recherches plus approfondies sur les bonobos et leur habitat.
Les Bonobos, soutient Judd Ashley, sont considérés comme un véritable espoir pour l’humanité. Ainsi face aux menaces qui pèsent sur leur habitat, la RDC doit prendre soin d’eux pour assurer leur survie.
« Nous partageons avec eux plus de 98% de notre ADN. Ils sont en grand danger d’extinction, et il risque de rapidement de disparaitre. Je retourne dans la forêt cette semaine, où je vivrais la réalité des bonobos encore une fois. Vous le pouvez aussi, nous le pouvons tous. Ensemble, nous pouvons protéger les bonobos du Congo et partager leur chemin évolutif avec le monde », a déclaré Judd Ashley.
Didier Mushete, Directeur général de l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) salue et encourage de telles initiatives en faveur de la biodiversité congolaise.
« Ces visites internationales de O prestige sont extrêmement très importante pour lycéenne parce que des missions tel que de Ashley et Mathis participe à améliorer notre connaissance du monde vivant par 7 mais amélioration la note structure sont extrêmement importante pour l'institut congolais de conservation de la nature parce qu'elles participent à améliorer notre connaissance du monde vivant et donc par cette amélioration nous structurons, nous organisons, nous renforçons justement toute cette mission complexe de la conservation de la nature à l'échelle nationale », a indiqué M. Mushete.
Par ailleurs le directeur général de l'ICCN précise que là où se rende cette mission scientifique est la région du monde où le stock de carbone est le plus important avec en surface des forêts, et en profondeur avec des tourbières.