Clôture vendredi 12 novembre dernier de la 26ème Conférence des Nations unies pour le Climat à Glasgow en Écosse. Ces assises qui avaient pour but de pousser les gouvernements à prendre de nouveaux engagements pour répondre à la menace du changement climatique ont abouti à des engagements notamment maintenir le réchauffement climatique à moins de 2 degrés Celsius d’ici 2030.
A cet effet, les pays ont décidé de promouvoir les énergies renouvelables et de réduire l’utilisation des énergie fossiles d’ici 2030.
La RDC, vu ses richesses naturelles, s’est présentée comme Pays Solution à la crise climatique mondiale. Affirmation de son président Félix Tshisekedi, dans son message en marge de la COP 26.
Dans le cadre de l'Initiative pour la Forêt de l’Afrique centrale (CAFI), la RDC a obtenu un financement de 500 millions de dollars américains sur 10 ans pour protéger sa forêt.
Tout en félicitant les négociations qui ont abouti au décaissement de ces fonds, certains acteurs de la société civile soulignent qu’il est impérieux que les engagements pris en faveur des projets de protection des forêts du Bassin du Congo soient respectés, si on veut atteindre cet objectif.
-Quelle lecture faire des recommandations issues de la COP 26 ?
-Qu’est-ce que la RDC devrait faire pour concrétiser les engagements pris lors de ces assises ?
Invités
-Professeur Longunza Malassi Joseph, Enseignant à l'université de Mbandaka, et à l'Institut Supérieur de Développement Rural de Mbandaka. Docteur en Droit de l'Environnement, Ressources naturelles et du changement climatique de l'université KwaZulu-Natal en Afrique du Sud. Conseiller climat de madame la Vice Première Ministre, ministre de l’Environnement Eve Bazaïba.
-Patrick Saidi, coordonnateur de la Dynamique des peuples autochtones.
-Alain-Parfait Ngulungu, Expert en gouvernance forestière et climatique.
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