Les artistes congolais font preuve de créativité. Cependant, peu d’entre entre eux tirent profit de leurs productions à cause de la piraterie. Les musiciens congolais accusent leur société d’affiliation de mal gérer leurs droits perçus auprès de la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (SACEM) et de la Société d’auteurs belge (SABAM) par rapport à leurs œuvres vendus à l’étranger.
- Que faire pour mieux gérer les droits d’auteur, même après la mort de l’artiste ?
Jody Nkashama s’entretient sur ce sujet avec Me Nganzi Ndoni Théodore, spécialiste en droit d’auteurs et droits voisins.
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