Après le sénateur de l’opposition Jacques Djoli, Radio Okapi interroge un autre constitutionnaliste congolais, Ambroise Kamukuni, sur la vague de démissions consécutives à la lettre ouverte du groupe des 7 partis politiques dissidents de la Majorité présidentielle.
Ce membre de la Majorité présidentielle estime qu’un départ délibéré d’un élu membre de son parti politique- condition pour qu’il perde son mandat- ne peut pas se présumer. L’intéressé doit le dire.
S’il ne le fait pas, explique le constitutionnaliste, son parti peut l’exclure, estimant que son membre s’est écarté de la ligne politique définie.
En ce cas, l’élu peut conserver son mandat parce qu’il n’a pas quitté son parti politique de manière délibérée.
Ambroise Kamukuni s’entretient avec Jeef Ngoy.
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