Une malnutrition aiguë frappe plus de mille cinq cent enfants de six à cinquante neuf mois dans dans trois zones de santé du territoire de Wamba, situé à plus de 400 kms, au Nord-Est de Kisangani, dans la Province Orientale. C’est le résultat d’une enquête menée par l’ONG italienne COOPI, au cours des trois derniers mois.
Le taux de prévalence de cette malnutrition dépasse le seuil normal, selon le nutritionniste de la COOPI.
Sur place à Wamba, affirme Miguel Mavinda, cette malnutrition sévère est de 5,2%, alors que le seuil d’alerte est de 2%.
Articles de la catégorie « Santé »
02/08/2010 - 21:34
Des experts et autres spécialites de la santé venus de l’étranger sont à Kinshasa pour assurer une formation sur la lutte efficace contre la malaria (le paludisme). Cette formation a commencé lundi 2 août 2010 au centre catholique Nganda et va durer quatre jours.
C’est une initiative de l’Université de Kinshasa (Unikin).
Elle s’inscrit dans le cadre de la réduction de l’impact de cette maladie sur la société congolaise.
Le paludisme reste jusqu’ a ce jour un défi majeur de santé publique, mais également la première cause de mortalité.
30/07/2010 - 16:15
Seuls les enfants de plus de deux ans peuvent prendre des médicaments mucolytiques© moblog.whmsoft.net
27/07/2010 - 20:08
Une vue de quelques malades à l'hôpital général de Kalemie (archives)
27/07/2010 - 19:58
Déjà cinq décès répertoriés depuis le mois de mars dernier dans l’aire de santé de Ndubulu, à une centaine de kilomètres de Gbadolite, dans la province de l’Equateur. Constat de l’ONG ASDH (Action pour la sauvegarde de la dignité humaine).
Le tétanos est en train de faire des dégâts dans cette aire de santé de la province de l’Equateur.
Alexis Kamba, secrétaire exécutif de cette ONG, qui revient d’une mission dans cette aire de santé, explique à Radio Okapi:
26/07/2010 - 12:51
A l'hôpital de Kalemie, le cholera n'a pas dit son dernier mot.
23/07/2010 - 19:00
La capacité d’accueil mensuelle de l’hôpital général de référence de Mushenge, au Kasaï occidental, est passée de 300 patients, il y a de cela quelques années, à 30 actuellement.
D’après le médecin chef de zone de santé de Mushenge, le docteur Albert Bope, cette baisse crée le dysfonctionnement de cet hôpital.
Quatre-vingt dix neuf pourcents des prestataires sont impayés, parce que, de nouveaux matriculés au registre des fonctionnaires de l’Etat. A cela s’ajoute le manque de médicaments.