La
création des groupes d’auto-défense populaire des jeunes n’aura donc pas été une solution
pour mettre un terme à l’insécurité dans cette ville. Mais les jeunes, eux, se disent
victimes d’une certaine négligence de la part des autorités. L’organe exécutif intérimaire
a convoqué une réunion mardi en vue d’éclaircir ce problème de détention
d’armes.