Plusieurs infirmiers qui travaillent dans les structures de santé de la ville de Kisangani et ses environs (Province Orientale) éprouvent d’énormes difficultés dans l’exercice de leur métier. Selon bon nombre de ce personnel soignant, les responsables de plusieurs hôpitaux ne les autorisent pas à poser des actes de chirurgie et de pédiatrie, alors qu’ils se sont spécialisés au deuxième cycle d’enseignement universitaire dans ces domaines de la santé.
Le point de la situation sur le terrain dans cet entretien que Jody Nkashama a eu avec Dr Dieudonné Upoki, directeur général de l’Institut supérieur des techniques médicales (ISTM/Kisangani).