Normal
0
false
false
false
EN-US
X-NONE
X-NONE
MicrosoftInternetExplorer4
/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name:”Table Normal”;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-parent:”";
mso-padding-alt:0in 5.4pt 0in 5.4pt;
mso-para-margin-top:0in;
mso-para-margin-right:0in;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0in;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family:”Calibri”,”sans-serif”;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-bidi-font-family:”Times New Roman”;
mso-bidi-theme-font:minor-bidi;}
La zone de santé de Djolu (Equateur) enregistre plusieurs cas de décès liés au paludisme depuis le mois de mai dernier. Ce sont surtout les enfants qui sont vulnérables à la malaria et certains présentent des signes d’anémie. Dans les structures de santé de ce territoire, les médicaments font défauts.
Le point de la situation sur le terrain dans cet entretien que Jody Nkashama a eu avec Dr Joseph Mboyo Limpoko, médecin inspecteur provincial.
Fichier audio : téléchargez Flash pour écouter.