Plus de 80 personnes venues de différentes structures sociales de ce district, notamment des ONG de développement, des confessions religieuses, des services de l’Etat, de l’armée, de la police et du monde des affaires, prennent part à cet atelier qui a démarré mercerdi 30 avril, rapporte radiookapi.net
C’est une rencontre d’échanges autour de la vulgarisation du document des stratégies de croissance et de réduction de la pauvreté, DSRP. Les animateurs de l’atelier viennent de l’Unicef, du HCR, de la Monuc, de Ocha et du Fonds social pour la République. Ils n’ont eu qu’un seul message dans leurs exposés de la première journée : les communautés du Bas-Uélé doivent se prendre en charge pour le développement de leur contrée. D’abord en investissant leurs propres moyens, si minimes soient-ils, en suite d’élaborer des projets à soumettre aux partenaires dans les domaines vitaux tels les routes, l’éducation, la lutte contre le VIH/Sida, la lutte contre l’impunité, l’assainissement du milieu, l’eau, l’hygiène et la santé.
