Plus de 40 jours depuis l’ouverture officielle de la session de mars, l’Assemblée nationale et le Sénat ont organisé moins de 5 plénières focalisées pour la plupart sur la prorogation de l’État de siège plutôt que sur les matières prévues dans le calendrier de la session.
Selon le président de la chambre basse du Parlement, cette léthargie est due au manque des frais de fonctionnement.
L’Assemblée nationale a connu une réduction de 30% de son budget conformément aux instructions du président de la République, renseignent des sources proches du ministère de Finances.
-Comment analyser cette situation ?
Invités :
-Marcel Zuma, député national élu de Bondo dans la province du Bas-Uelé. Il est membre du regroupement politique AA/C, membre de l’Union sacrée de la nation.
-Emedi Amuri, député national élu de la circonscription électorale de Kabambare dans la province du Maniema. Il est rapporteur du groupe parlementaire de l’opposition Ensemble à l’Assemblée nationale.
-Michel Bisa, professeur à l’Université de Kinshasa. Il est secrétaire scientifique de l’Observatoire de la gouvernance, un laboratoire de recherche en sciences sociales.
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