L'entrée principale de la prison centrale de Kananga. (Août 2017) Radio Okapi/Photo Joël Bofengo
«Ils avaient leur mégaphone, en train de faire la sensibilisation. D’un coup, ils ont été interpellés par un major de la police en tenue civile. On les a amenés au cahot de la police. C’est là qu’ils se trouvent détenus jusque maintenant», relate M. Nkashama.
Il dénonce une arrestation « irresponsable » dans un état démocratique et qui fait partie du conseil des droits de l’homme de Nations Unies. Il promet de mobiliser des avocats pour que ses camarades recouvrent la liberté.