Contrôle technique des véhicules par l’hôtel de ville de Kinshasa au garage de l’ISTA Ndolo. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Il l’a dit, mardi 25 octobre à Kinshasa, au cours d’un atelier qui visait à améliorer les formations techniques à travers le pays.
Jean Nengbangba souhaite également que les formations techniques soient enregistrées et agréées:
«Nous voulons qu’au niveau de l’enseignement technique et professionnel, que toute ces formations qui sont dispensées dans la nature, soient d’abord enregistrées et agréées. Et c’est cela qui nous permettra enfin, à la fin de la formation, de délivrer des titres reconnus, tant sur le plan national qu’international».
Jean Nengbangba attribue la difficulté de reconnaissance de différents titres techniques à la multitude de filières et à la disparité des programmes.
«Chez nous en RDC, c’est tout le monde qui veut former, ce n’est pas mal. Mais tous ces gens-là qui étudient, qui apprennent, n’ont pas une qualification reconnue», a-t-il déploré.
