Le coordonnateur de l’Association des jeunes auteurs du Congo (Ajeco) estime que la RDC n’a pas de structures pour promouvoir les jeunes auteurs. Richard Ali l’a affirmé vendredi 7 novembre à l’occasion de la journée internationale de l’écrivain français. En RDC, cette journée a pour thème «Rôle et avenir de l’écrivain congolais et africain ».
«L’écrivain congolais, jusque là, souffre de manque de structure adéquate, et notamment, jusque là, on n’a toujours pas de maison d’édition sur lequel les jeunes auteurs peuvent compter», a déclaré Richard Ali.
A l’occasion de la fête de l’écrivain, son association, en collaboration avec le fond de promotion culturelle, prévoit l’organisation de conférences, débats et dédicaces dans la bibliothèque du centre Wallonie Bruxelles.
«Entre autres, il y aura des échanges et débats autour du thème “rôle et avenir de l’écrivain congolais et africain”. Nous allons échanger avec les jeunes auteurs mais aussi avec des écrivains établis. Après, il y aura cette restitution que nous allons faire sur notre participation au festival littéraire de Port-Harcourt», a-t-il expliqué.
De la lecture et des déclamations sont aussi prévues dans le cadre de cette journée.
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