Articles de la catégorie « Liqueur »
12/12/2012 - 07:00
Plusieurs Congolais consomment au quotidien des liqueurs fortes contenues dans des petits sachets et bouteilles. D’autres prennent sans modération l’alcool indigène.
- Quelles sont les conséquences de la consommation abusive des liqueurs fortes ?
18/04/2012 - 13:47
Plusieurs jeunes gens désœuvrés s’adonnent à la consommation abusive de liqueurs fortes à Kinshasa. Ce, malgré l’interdiction par l’hôtel de ville de la vente et de la consommation de ces boissons dont le taux d’alcool est souvent élevé.
Ces liqueurs sont prisées par les jeunes des communes populaires de Kinshasa parce qu’elles sont vendues à vil prix.
Le point de la situation sur le terrain dans cet entretien que Jody Nkashama a eu avec Apollinaire Assir, expert en santé publique.
27/02/2012 - 13:51
La vente des liqueurs fortes autrefois interdites a refait surface sur le marché de Kasumbalesa (Katanga).
Pour échapper au contrôle de la police, les petits commerçants vendent ces boissons alcoolisées sous les comptoirs.
Le point de la situation sur le terrain dans cet entretien que Jody Nkashama a eu avec André Kapampa, chef de cité de Kasumbalesa.
25/11/2011 - 17:50
La consommation des liqueurs en sachet communément appelés « Supu na tolo» se porte bien à Kinshasa malgré la mesure d’interdiction par l’hôtel de ville. Il suffit de fréquenter les quartiers de la banlieue pour s’en rendre compte. 100 francs congolais, c’est le prix d’une mesure vendue à la sauvette par les jeunes gens aux coins des rues. Pourtant la consommation de cette boisson est nocive à la santé.
- Quels sont les risques liés à la consommation de supu na tolo ?
Dr Binjamin Mavar Kwengani, expert en santé publique répond au micro de Jody Nkashama.
11/03/2011 - 13:08
Le commissaire du district de Kwango, dans la province de Bandundu interdit la vente et la consommation de la liqueur artisanale sur sa juridiction. Les consommateurs de cette liqueur artisanale la mélange à de l’alcool à forte teneur vendu en sachet. Pourtant ce mélange constitue un danger pour la santé selon les experts.
Le point sur l’exécution de cette décision dans cet entretien que Jody Nkashama a eu avec Dr Aimé Kavungapata, médecin chef de staff à l’hôpital général de référence de Kikwit.