Articles de la catégorie « Ivoire »
25/08/2016 - 16:00
Le Procureur général près la Cour d’appel de Lubumbashi a présenté à la presse une centaine de cartons contenant des pièces d’ivoires et des cornes des vaches saisies à Kasumbalesa (Haut-Katanga) l
22/07/2015 - 19:56
Des pointes d’ivoire retrouvées mercredi 22 juillet 2015 au domicile d’un sujet guinéen dans la commune de Barumbu, à Kinshasa. Ph. Radio Okapi/Ascain Zigbia
La Direction générale des douanes et accises (DGDA) a annoncé mercredi 22 juillet la saisie de 54 pointes d’ivoire à Kinshasa, au domicile d’un sujet guinéen dans la commune de Barumbu.
16/06/2015 - 16:52
De l’ivoire déjà taillée saisie par la police à Kinshasa. Photo Daddy Wuba/ICCN
Une quantité de 136 kg d’ivoire en provenance de la RDC a été saisie, depuis cinq jours, par les autorités françaises à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, à Paris.
31/01/2015 - 08:40
De l’ivoire déjà taillée saisie par la police à Kinshasa. Photo Daddy Wuba/ICCN
La police nationale a présenté, vendredi 30 janvier, un important lot de pointes d’ivoire, dont la majorité déjà taillée, à Kinshasa.
13/04/2013 - 16:56
Confiscation d’ivoire dans la réserve de faune à Okapi, 2005.
La vente d’ivoire et œuvres d’art fabriquées avec cette matière est interdite dans la Province Orientale. Le gouvernement provincial l’a rappelé, jeudi 11 avril, expliquant que cette décision vise à combattre le braconnage.
15/08/2012 - 19:12
Confiscation d’ivoire dans la réserve de faune à Okapi, 2005.
Le commerce de l’ivoire, officiellement interdit en RDC, s’effectue normalement au «marché des voleurs», sur le boulevard du 30 juin, sur la place Royale à Kinshasa. Sur place, certains objets d’arts fabriqués en ivoire sont vendus sans inquiétude.
11/09/2010 - 12:47
Le verdict est tombé est, vendredi 10 septembre, au tribunal de paix Lubumbashi – Kamalondo dans le procès en flagrance qui a opposé le ministère public à un groupe des personnes, parmi lesquelles des ressortissants chinois arrêtés pour trafic illicite des pointes d’ivoire.
Deux Chinois sont condamnés à deux ans de servitude pénale principale et au payement des amandes; le lieutenant Kasereka des FARDC, à quatre mois de prison avec sursis.
Par contre, deux civils ont été acquittés.