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La liberté de la presse au Congo reste rétrograde. La responsabilité est à partager entre le pouvoir, les promoteurs des organes de presse et les journalistes eux-mêmes. Le pouvoir use des intimidations, les propriétaires des médias, eux, n’offrent pas des conditions de vie décente à leurs employés qui se laissent aller à la corruption. Et tous ces faits font que l’information ne soit pas toujours objective.Autres problèmes relevés ,n’importe qui est journaliste aujourd’hui.C’est comme si c’etait devenu un metier pour les chomeurs de la Rdc.Confirmation de Kibambi Shintwa.Repondant aux questions de Nicole Ngaka et Jr Lungembo ,Kibambi Shintwa reconnait qu’il faudrait restructurer le métier.
