L’eau a cessé de couler au robinet depuis plusieurs mois à Ilebo. Les habitants de la cité
portuaire sont obligés d’aller se baigner et puiser l’eau à boire dans des
rivières.
Selon Pierre Malobo, administrateur de la cité, le problème aurait été
posé au responsable de la Régideso/Ilebo et à la direction provinciale de l’entreprise. Sans
suite.
Pour vivre, la population s’approvisionne dans les rivières Lutshiadi et
Kasaï. Conséquence: des cas de noyade sont enregistrés quotidiennement. De même, les
FM: Kinshasa 103.5 :: Bunia 104.9 :: Bukavu 95.3 :: Goma 95.5 :: Kindu 103.0 :: Kisangani 94.8 :: Lubumbashi 95.8 :: Matadi 102.0 :: Mbandaka 103.0 :: Mbuji-mayi 93.8
Articles de la catégorie « Actualité »
14/04/2005 - 17:00
L’eau a cessé de couler au robinet depuis plusieurs mois à Ilebo. Les habitants de la cité portuaire sont obligés d’aller se baigner et puiser l’eau à boire dans des rivières.
Selon Pierre Malobo, administrateur de la cité, le problème aurait été posé au responsable de la Régideso/Ilebo et à la direction provinciale de l’entreprise. Sans suite.
13/04/2005 - 17:07
Les cinq personnes inculpées dans le meurtre de 18 enfants de la
rue écopent de cinq ans de servitude pénale. C’est le verdict prononcé ce mercredi par le
tribunal de Grande Instance de la capitale du Kasaï Oriental. Mais le ministère public
trouve la sentence très clémente et fait appel.
Le ministère considère ce verdict
comme dérisoire et non proportionnel à l’infraction. Est-il possible de condamner ainsi
des gens inculpés dans un meurtre de 18 personnes? Se demande le ministère public.
13/04/2005 - 17:07
Les cinq personnes inculpées dans le meurtre de 18 enfants de la rue écopent de cinq ans de servitude pénale. C’est le verdict prononcé ce mercredi par le tribunal de Grande Instance de la capitale du Kasaï Oriental. Mais le ministère public trouve la sentence très clémente et fait appel.
Le ministère considère ce verdict comme dérisoire et non proportionnel à l’infraction. Est-il possible de condamner ainsi des gens inculpés dans un meurtre de 18 personnes? Se demande le ministère public.
13/04/2005 - 16:54
D’après la Croix-Rouge locale et la société civile, ces déplacés ont fui
les affrontements entre les 12e et 18e brigades des FARDC non brassées dans le secteur de
Kanyabayonga, au début du mois en cours. D’autres encore seraient sur les routes,
craignant l’insécurité.
Ces déplacés ont fui les localités de Miriki et Kimaka
lors de ces affrontements. Au lendemain des combats, on estimait à 3 000 familles de
déplacés pour la seule cité de Kanyabayonga. Mais la Croix-Rouge locale et la société civile
13/04/2005 - 16:54
D’après la Croix-Rouge locale et la société civile, ces déplacés ont fui les affrontements entre les 12e et 18e brigades des FARDC non brassées dans le secteur de Kanyabayonga, au début du mois en cours. D’autres encore seraient sur les routes, craignant l’insécurité.
13/04/2005 - 16:44
La signature des accords sur ce projet a eu
lieu hier mardi à Bruxelles, en présence des ministres belges de la Coopération et des
Affaires étrangères ainsi que du ministre congolais des Transports et Communications.
Pour le port de Matadi, il sera question, selon la source, du nettoyage des
quais et des entrepôts. Les travaux consisteront également à réhabiliter un autre quai pour
l’accostage des navires de haute mer.
rnEn qui concerne le port de Kinshasa, les
13/04/2005 - 16:44
La signature des accords sur ce projet a eu lieu hier mardi à Bruxelles, en présence des ministres belges de la Coopération et des Affaires étrangères ainsi que du ministre congolais des Transports et Communications.
Pour le port de Matadi, il sera question, selon la source, du nettoyage des quais et des entrepôts. Les travaux consisteront également à réhabiliter un autre quai pour l’accostage des navires de haute mer.
13/04/2005 - 11:57
Selon le commandement de la 8e région militaire, ce bataillon fort de 700
hommes aura pour première mission de sécuriser les opérateurs économiques sur l’axe routier
Kanyabayonga-Rutshuru.
La création de ce bataillon avait été envisagée par la 8e
région militaire sur la demande des opérateurs économiques de Beni-Butembo. Il est commandé
par un officier de l’ex- ANC.
Il y a quelques semaines, lors d’une rencontre avec le
commandant de la 8e région militaires, ces commerçants se sont plaints de pillages
13/04/2005 - 11:57
Selon le commandement de la 8e région militaire, ce bataillon fort de 700 hommes aura pour première mission de sécuriser les opérateurs économiques sur l’axe routier Kanyabayonga-Rutshuru.
La création de ce bataillon avait été envisagée par la 8e région militaire sur la demande des opérateurs économiques de Beni-Butembo. Il est commandé par un officier de l’ex- ANC.