Frédéric Amani, chercheur associé en Sciences politiques et relations internationales à l'Université de Lubumbashi, note que la campagne électorale, ces trois dernières semaines, a été timide.
« Certains candidats se sont lancés dans la course, non par conviction mais sur demande de leurs partis politiques. Mais, malheureusement, ils n’ont eu suffisamment de moyens financiers pour battre campagne », explique-t-il, évoquant également les doutes dans l’opinion sur la tenue des élections le 20 décembre.
Frédéric Amani s’entretient avec Alain Irung :
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