L’ONG Journaliste en danger (JED) a affirmé, mercredi 1er novembre, avoir recensé au moins 523 atteintes à la liberté de la presse depuis l’avènement de Félix Tshisekedi au pouvoir.
Cette structure a livré ces statistiques dans son rapport, publié marge de de la journée internationale de la fin de l’impunité des crimes commis contre les journalistes, célébrée le 2 novembre de chaque année.
Selon ce rapport intitulé « Le Bilan de la liberté de la presse sous le premier mandat du Président Félix Tshisekedi », 5 journalistes ont trouvé la mort pendant le règne de Tshisekedi.
Ce document du service de monitoring de JED a tout de même reconnu l’adoption d’une nouvelle loi sur la presse, issue des états généraux de la Communication et des médias, qui n’a jamais été publié au Journal officiel, plus de huit mois après sa promulgation par le Chef de l’Etat.
Question :
- Quelle lecture faites-vous du rapport de JED ?
Invités :
-Jean Claude Tshilumbayi, professeur de droit, député provincial au Kasaï-Central et cadre de l’UDPS, parti membre de l’Union sacrée de la nation.
-Tshivis Tshivuadi, Secrétaire général de l’ONG Journaliste en danger (JED).
-Grâce Ngyke Kangundu, journaliste et présidente de l'Association congolaise des femmes journalistes de la presse écrite (ACOFEPE). Elle est également représentante des orphelins des journalistes assassinés.
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