L’Institut africain des leadership agricole (AALI) a formé, du 6 au 7 octobre, plus de 60 personnes sur l’agriculture numérique, à Mbuji-Mayi (Kasaï-Oriental).
Pendant deux jours, ces participants ont pris plusieurs notions pour la gestion numérique de l’agriculture.
Cet atelier a voulu amener ces personnes (étudiants de la faculté d’agronomie, des inspecteurs, des agronomes et les entrepreneurs) à promouvoir la transformation de l’agriculture africaine.
Asia Jafard, membre de AALI explique l’importance de cette formation :
« Ce qui est soft way, on voit plus les applications, qu’on utilise soit pour la détection des maladies sur les cultures, soit pour la cartographie des parcelles. Staway quand on voit l’utilisation des drones, des GPS ».
D’après l’une des facilitatrices de cet atelier, l’utilisation des technologies numérique permet d’améliorer le rendement et lutter contre l’insécurité alimentaire.
Cette nouvelle approche est également appréciée par l’Ingénieur Léon Lukusa Chargé des filières agricoles à l’EPST Kasaï-Oriental.
« Non seulement l’élève pourra mettre l’accent sur la pratique, mais il doit savoir combien il a produit, c’est la culture des chiffres qu’on inculque », a-t-il souligné.
Les participants Doris Ndaya et Jean Paul Mpiana estiment les notions apprises vont leurs permettre de réduire les couts et les gaspillages dabs les travaux champêtres.
« Je suis capable de contrôler, de surveiller de près ce que je suis en train de faire comme travail. Il y a même des mesures de détection des maladies qu’attrapent les plantes, très important pour moi », a soutenu Doris Ndaya.
L’AALI dispose des brigades des jeunes formés pour accompagner les opérateurs agricoles dans la production végétale modernisée, l’élevage, la pisciculture, la mécanisation et l’éducation agricole.