L'opérateur économique libanais, coaccusé de Vital Kamerhe dans le procès dit de 100 jours du programme d'urgence du Président de la République, Samih Jammal, bénéficie d'une liberté provisoire depuis ce mercredi 11 mai.
Selon son avocat, cette liberté est assortie de quelques conditions pour lui permettre de se faire soigner.
Jammal a été condamné en même temps que Vital Kamerhe pour notamment détournement des deniers publics dans le dossier de passation des marchés publics au premier et second degré.
C'est depuis 2020 qu'il a été écroué et hospitalisé dans un centre médical à Kinshasa.