Cette structure la société civile estime que cet accord est « un pas vers la fin du pillage des ressources naturelles congolaises et qu’il est encore trop tôt pour crier victoire, d’autant plus que plusieurs questions restent sans réponses ».
Jimmy Kande, chargé de communication de “Le Congo n’est pas à vendre”, parle de beaucoup de questions en suspens ne permettent pas d’apprécier ce qui a été signé entre les deux parties.
C’est pourquoi il demande au gouvernement de publier les clauses du contrat qui le lie au Groupe Ventura.
L’accord signé vise à mettre fin au contentieux judiciaire qui opposait la RDC a ce groupe.