Selon le rapport du Ministère du Genre, famille et enfant publié dernièrement à Kinshasa, 2 étudiantes sur 3 sont victimes du phénomène point sexuellement transmissible au sein des institutions académiques de la RDC. Le harcèlement sexuel en milieu universitaire se retrouve parmi les formes les plus tolérées par la société Congolaise, qui leur a même donné un petit nom innocent « notes ou points sexuellement transmissibles » en sigle NST, d’après les sociologues. Selon plusieurs observateurs, ces cas sont aussi enregistrés dans plusieurs universités et instituts supérieurs de la ville de Bunia (Ituri). – Que faut-il faire pour mettre fin au phénomène point sexuellement transmissible dans les institutions académiques de la ville de Bunia ?
Jody Nkashama s’entretient sur ce sujet avec le professeur Simba Akokola, recteur de l’Université de Bunia.
Kahindo Brigitte, secrétaire général administratif de l’Université Shalom de Bunia a aussi pris part à cette émission.