Plus d'une semaine après l'ouverture de la session ordinaire à l'Assemblée nationale, il n’y a toujours pas de calendrier, ni des plénières. Des sources à la chambre basse du Parlement expliquent que cela est dû, entre autres, au deuil qui a frappé cette institution. Il y a aussi la requalification de la majorité qui a touché les fondements du système politique.
Certains groupes parlementaires ont été touchés. Ce qui risque d'avoir un impact sur la gestion notamment des commissions permanentes. 13 de 16 groupes parlementaires que compte l'Assemblée nationale, se réclament être de l'Union sacrée de la nation.
-Comment analysez-vous cette situation ?
Invités
-Iracan Gratien de Saint-Nicolas, député national élu de la ville de Bunia, au sein du regroupement politique mouvement social MS, membre de l'Union sacrée de la Nation
-André Tambwe Katalbwe, député national et cadre du PPRD, parti membre du Front Commun pour le Congo (FCC)
-Professeur Chober Agenonga, professeur à l'université de Kisangani. Spécialiste dans le domaine des études de sécurité, de géopolitique et de sociologie militaire.
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