Le professeur Isidore Ndaywel, coordonnateur du CLC, parle par exemple de « l’illégalité de la machine à voter ».
« Cette machine n'est pas prévue par la loi, elle n'est pas prévue par le calendrier électoral, ça n'a pas fait l'objet d'un consensus. Nous disons que le rejet de la machine à voter va de même avec le problème du fichier. Les deux éléments sont liés. Quelle idée de ne pas tenir compte des résultats de l'audit que l'on a soi-même commandé pour pouvoir améliorer la fiabilisation de son propre fichier. La population ne veut pas de ces deux écueils », a indiqué Isidore Ndaywel.
Pour le CLC, la machine à voter pose « un sérieux problème de fiabilité étant donné que personne ne connait ce que renferment les logiciels de cette machine ».
« Le choix de l’électeur n’est pas à l’abri des modifications volontairement programmées », affirme le CLC.
Vous pouvez écouter les explications du professeur Ndaywel dans cette interview avec Pellet Kipela :