Dans son discours à la 72ème Assemblée générale des Nations unies, le Président Joseph Kabila a affirmé que le cap vers les élections crédibles, transparentes et apaisées était définitivement irréversible. Cependant, ce processus doit se passer « sans ingérence extérieure, ni dictat quelconque », a-t-il déclaré. En marge de cette session, le Rassemblement ainsi que certaines ONG nationales et internationales ont de leur côté plaidé pour une transition sans Kabila, si les élections ne sont pas organisées au 31 décembre 2017.
Quelle lecture faire de cette situation ?
Invités
-André-Alain Atundu, porte-parole de la majorité présidentielle.
-Delly Sessanga, député national de l’opposition. Il est président du parti ENVOL et président de la plateforme Alternance pour la République membre du Rassemblement.
-Prof Félicien Kabamba, professeur et chercheur au Centre d'études politiques de l’Université de Kinshasa.
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