«Rien qu’au mois de mai, on a dénombré environ 6 000 personnes. Mais en plus de ces personnes de souche centrafricaine, il y a également des éleveurs Mbororo qui sont entrés, environ 3 000 personnes avec armes et bétails», a-t-il révélé.
Elu du Bas-Uele, Raymond Ramazani Baya dit craindre que cette situation ne vienne déstabiliser la population locale.
«L’administration a énormément des difficultés de les dénombrer et de les cantonner compte tenu de sa faiblesse numérique. Et, ensuite, la grande faiblesse de la présence des forces armées», a-t-il ajouté.