Dans une interview accordée à Radio Okapi mercredi dernier, le facilitateur du dialogue en RDC reconnaît faire face à « quelques difficultés à surmonter». Edem Kodjo affirme que les difficultés viennent de ce que les partis politiques notamment ceux de l’opposition n’arrivent pas à donner leurs représentants pour faire partie du comité préparatoire.
Entretemps, certains acteurs politiques d’une frange de l’opposition rejettent la responsabilité du blocage au facilitateur. Pour preuve selon eux, en lieu et place du comité préparatoire, ce dernier propose un groupe de travail.
-Comment commentez-vous cette situation?
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Thème du jeudi 26 mai 2016.
Le débat à l’Assemblée nationale a été consacré vendredi 20 mai à l’état des lieux des infrastructures en RDC. Ces infrastructures se trouvent dans un état de délabrement quasi-total au point de rendre impraticables bien de voies d’intérêt dans certaines parties du pays.
Pour l’honorable Jean-Pierre Pasi za Pamba, initiateur de la question orale avec débat, la politique du gouvernement relative à l’entretien routier et aux critères de sélection des routes à entretenir à travers le pays serait défaillante.
-Que faut-il faire pour relever ce défi ?
