Trente-cinq pays africains participent depuis lundi à Kinshasa à la 14e assemblée générale du Fonds d’entretien routier africain. Ces pays parmi dont la RDC, le Nigeria, l’Afrique du sud, le Gabon ou encore Madagascar, réfléchissent notamment sur les moyens de rendre plus efficaces leurs fonds d’entretien routier respectifs.
La RDC, qui possède un important réseau routier d’au moins 150 000 km de longueur dont près de 87 000 km des routes de desserte agricole, est aussi confrontée aux nombreux besoins pour maintenir ce réseau en bon état.
Pour faire face à cette situation, certains observateurs estiment qu’outre les ressources de péage collectées à cette fin, il faudrait ouvrir le marché de ces infrastructures aux investisseurs privés.
-Qu’en pensez-vous?
Invité: Franck Djongo, Président du Mouvement Lumumbiste Progressiste, un parti politique de l’opposition et ingénieur conseil en construction civile.
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Thème du jeudi 26 novembre 2015.
Dans une déclaration faite mercredi 11 novembre dernier, le syndicat de la Minière de Bakwanga (Miba) s’oppose à l’émiettement de la concession de l’entreprise qui risquerait, selon la délégation syndicale, d’entraîner la faillite de l’entreprise.
En octobre dernier, l’ONG Dynamique pour l’unité et le développement du Kasaï-Oriental (DUDKOR) avait proposé la création de petites entreprises minières, selon le modèle de la Générale des carrières des mines (Gécamines), pour relancer la Miba.
Certains observateurs estiment que le gouvernement devra plutôt exécuter le plan d’urgence de la relance de la Miba qui est connu et dont le besoin d’exécution nécessite neuf millions de dollars américains.
-Que lest votre avis ?