 Jacques Djoli. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
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Le vice-président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Jacques Djoli, a loué, une année après, le travail abattu par son institution et reconnu aussi que beaucoup reste encore à faire.
«Une année, c’est beaucoup parce que nous avons travaillé intensément, mais c’est très peu aussi pour dire que nous avons tout maitrisé», a-t-il affirmé.
Jacques Djoli a indiqué que son institution a entamé le travail d’évaluation au niveau de la base donc de chaque antenne et au niveau de chaque exécutif provincial.
Des sources concordantes indiquent que la Ceni a achevé le travail de synthèse géographique au niveau de l’équipe technique et scientifique et elle opère les synthèses thématiques avec les travaux de chaque direction.
Pour le vice-président de la Ceni, ce travail de synthèse permettra à son institution et à ses partenaires de faire une évaluation générale de toutes les opérations électorales de novembre 2011.
«Ce week-end, ce travail sera terminé. Dès le début de la semaine, il y aura des concertations avec nos partenaires privilégiés dont la division électorale de la Monusco de sorte que les termes de référence partagés soient présentés aux partenaires et aux comités techniques », a rassuré Jacques Djoli.
Le bureau de la Ceni se propose de faire l’évaluation générale de tout ce qui a été fait tout au long de l’année 2011-2012 à partir du 19 mars.
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