Dans un communiqué de presse rendu public dimanche 29 janvier, la société civile de Beni a dénoncé l’insécurité persistante qu’elle impute aux rebelles ougandais des ADF-Nalu, aux Maï-Maï et à des hommes armés encore opérationnels dans ce territoire.
Le document évoque plusieurs cas de tueries, d’enlèvements et d’assassinats commis par des hommes armés citant notamment le cas des corps de deux militaires et un civil retrouvés le dimanche au bord de la rivière Bango, sur la route Mbau-Kainama. Ces trois hommes étaient portés disparus depuis une semaine.