Florent Ibenge: «On est en finale pour la remporter»

Florent Ibenge, entraineur de l’As. Vita club de Kinshasa, le 18/05/2014 au stade Tata Raphael. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

L’entraineur de l’As V.club, Florent Ibenge, a déclaré que son équipe est en finale de la 18e édition de la ligue des champions- Caf pour la remporter. Vclub sera face à Entente sportive Setif d’Algérie dimanche 26 octobre au stade Tata Raphaël de Kinshasa.

«Il n’y a pas autre chose que de remporter le titre. On ne vient pas jouer la finale pour regarder les autres, mais pour la remporter…Je pense qu’à ce niveau, c’est le mental qui ferait la différence», a déclaré le technicien congolais à Radio Okapi.

Commentant les qualités des joueurs de Sétif, Florent Ibenge a affirmé : «ça va être très difficile déjà ici à l’aller. Car c’est une équipe qui s’appuie sur une grosse base défensive et qui a deux merveilleux attaquants qui sont très rapides. C’est vraiment une équipe très dangereuse comme elle l’a démontré contre Mazembe et celui d’avant contre Sfax».

Concernant le match aller de dimanche à Kinshasa, Florent Ibenge a analysé les chances de ses poulains :

«Ce n’est jamais facile de jouer à l’aller comme au retour. Sauf qu’à la maison, l’adversaire vous attend. Il ne vous laisse pas d’espace. C’est beaucoup plus difficile de contrer. Et à l’extérieur, on est dans le cas inverse. Et comme j’ai un peu du talent sur la contre-attaque, ça parait un peu plus facile. Mais, c’est juste le travail qui fait qu’on puisse récolter le fruit, grâce aussi aux talents de joueurs que j’ai».

Il a, par ailleurs, appelé à un soutien total du public congolais pour pousser les joueurs à la victoire : «Je veux que les supporters encouragent l’équipe, mais qu’ils ne s’endorment pas. Qu’ils soient là du début à la fin du match comme ils l’ont fait contre Kaiser chiefs d’Afrique du sud (3-0/0-2 en 8e de finale). Qu’ils n’attendent pas qu’on leur offre quelque chose. Qu’ils nous poussent par contre pour qu’on ait  la victoire. Et que celle-ci soit pour eux-mêmes».

L’intégralité de cette interview est à écouter ici:

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