Le projet est actuellement à l’ordre du jour à Londres, en Grande Bretagne, où se tient depuis lundi une réunion du Conseil mondial de l’énergie (CME). Sa concrétisation permettrait à terme d’alimenter aussi, d’ici à 2020, plusieurs pays d’Afrique, à partir de trois pôles : Afrique du Sud, Nigeria et Egypte, rapporte radiookapi.net
Ce barrage serait d’une énergie de plus de 300 000 gigawattheures. Mais, d’après Gerald Doucet, secrétaire général du Conseil mondial de l’énergie (CME), la priorité du projet serait d’abord de fournir le courant électrique aux citoyens et à l’industrie de la RDC, de Kinshasa à Lubumbashi. D’où la nécessité de réhabiliter d’abord Inga 1, Inga 2 et Inga 3.
Plusieurs partenaires du monde sont invités aux travaux de Londres, a indiqué Gerald Doucet. L’idéal, a-t-il fait savoir, c’est d’éviter les erreurs du passé, en tenant compte des besoins environnementaux, économiques et sociaux des populations de la région où le courant est produit.