Ces coups de feu ont opposé la police aux adeptes de Bundu Dia Kongo (BDK). Des activistes des droits de l’homme affirment que des personnes présumées fidèles à BDK ont été tabassées par les forces de l’ordre. Aucun bilan officiel des victimes n’a été livré, rapporte radiookapi.net
Les activistes des droits de l’homme expliquent qu’un policier soupçonné d’être favorable au BDK a aussi été passé à tabac par ses collègues. Les autorités politico administratives affirment que les forces de l’ordre n’ont fait que répliquer aux provocations du BDK. C’est depuis trois jours que la police encercle le lieu de culte de ce mouvement politico religieux.